Re: MALADIE DE LYME et ASSURANCE
Posté : 20 mars 2024 21:44
Bonjour,
Quand on y croit fort, çà donne çà
, bien sur une borréliose n'est pas une maladie c'est une infection 
Je passe pour vous donner des nouvelles de cette procédure après avoir saisi, via mon avocat, le médiateur des assurances dans le cadre de ma GAV (Garantie des Accident de la Vie) dans les conditions de « morsure ou piqures d’animaux ».
(Bien sur chaque cas est différent et surtout différents dans les assurances souscrites et dans leurs conditions générales et particulières avant bien sûr l'évenement).
J'ai du saisir le médiateur des assurances forcèment mon assureur campait sur ses positions et des fins de non-recevoir, la situation était plus que bloquée, mon dossier était refermé et clos systhématiquement par l'assureur et moi derrière re recommandé pour demander la ré-ouverture de ce dossier.
En fonction des arguments avancés par mon avocat, le médiateur s’est positionné en mentionnant que mon dossier était « recevable ».
Mon avocat se basant sur le fait qu’il s’agit d’un « événement soudain, imprévu, individuel et dû à des causes extérieures » qui est la base de la définition d’un accident. 
J’attends donc, à ce jour, une proposition d’indemnisation.
Bien sur je ne sais pas comment va se baser cette indemnisation vu que la seule expertise, que j'ai eu a été faite par le docteur expert mandaté par l'assurance et qui l'a royalement saboté oubliant des pièces importantes du dossier carrément non mentionnées et que lui même en tant que "docteur" s'est positionné en disant que "çà ne rentrait pas dans les conditions d'une assurance et donc du coup expertise tronquée
Ce que mon dossier m’a appris, tout doit être fait par écrit, même si on vous donne des réponses orales, demandez toujours un écrit, on écrit en lettre LRAR, on garde tout, les envois et les réponses, le journal d’appel téléphonique, etc...
J’espère que mon dossier pourra faire avancer la cause et surtout servir les malades dans le cas d'une jurisprudence.
Il ne faudrait pas prendre les malades pour des êtres faibles, diminués certes mais toujours prêts à se battre quand nous jugeons la cause juste.
Ensemble on est plus forts
Quand on y croit fort, çà donne çà
, bien sur une borréliose n'est pas une maladie c'est une infection Je passe pour vous donner des nouvelles de cette procédure après avoir saisi, via mon avocat, le médiateur des assurances dans le cadre de ma GAV (Garantie des Accident de la Vie) dans les conditions de « morsure ou piqures d’animaux ».
(Bien sur chaque cas est différent et surtout différents dans les assurances souscrites et dans leurs conditions générales et particulières avant bien sûr l'évenement).
J'ai du saisir le médiateur des assurances forcèment mon assureur campait sur ses positions et des fins de non-recevoir, la situation était plus que bloquée, mon dossier était refermé et clos systhématiquement par l'assureur et moi derrière re recommandé pour demander la ré-ouverture de ce dossier.
En fonction des arguments avancés par mon avocat, le médiateur s’est positionné en mentionnant que mon dossier était « recevable ».
Mon avocat se basant sur le fait qu’il s’agit d’un « événement soudain, imprévu, individuel et dû à des causes extérieures »
qui est la base de la définition d’un accident. J’attends donc, à ce jour, une proposition d’indemnisation.
Bien sur je ne sais pas comment va se baser cette indemnisation vu que la seule expertise, que j'ai eu a été faite par le docteur expert mandaté par l'assurance et qui l'a royalement saboté oubliant des pièces importantes du dossier carrément non mentionnées et que lui même en tant que "docteur" s'est positionné en disant que "çà ne rentrait pas dans les conditions d'une assurance et donc du coup expertise tronquée
Ce que mon dossier m’a appris, tout doit être fait par écrit, même si on vous donne des réponses orales, demandez toujours un écrit, on écrit en lettre LRAR, on garde tout, les envois et les réponses, le journal d’appel téléphonique, etc...
J’espère que mon dossier pourra faire avancer la cause et surtout servir les malades dans le cas d'une jurisprudence.
Il ne faudrait pas prendre les malades pour des êtres faibles, diminués certes mais toujours prêts à se battre quand nous jugeons la cause juste.
Ensemble on est plus forts