Bonjour,
voici un extrait du livre "healing lyme"concernant le traitement recommandé par
stephen buhner pour traiter la babesia:
(...) with babesia infection, capillary blockage and microvascular stasis can occur
as a result of red blood-cell fragments clogging the system. The liver, kidneys, and spleen may become inflamed trying
to deal with the red blood-cell fragments in the vascular system. The spleen seems especially hard hit as it is primilary
responsible for removing the fragments. Because of this, herbs for spleen and liver support can help considerably
in the treatment of babesiosis.
The primary herb useful in the treatment of babesia is Artemisia annua. The use of one of the herb's constituents, artemisinin,
has shown much better outcomes than the herb itself in treating babesia infections (although this may be because of too-low dosing
with the whole herb).(...)
Stephen Buhner recommande également l'usage de "red root" (ceanothus spp)en teinture et pour les frissons/sueurs/fievres:
"boneset tea"
je ne vais pas vous faire te topo pour chaque plante, c'est très long et il faut lire les recos /effets secondaires et eventuelles
contre indications: il faut l'acheter!! ce type s'est donné un mal fou, il mérite bien ça...
pour nos amis allemands le livre sera présenté au " Frankfort bookfair au mois d'octobre"
dosage artemisinin: en géllules de 100mg , 3 X/j pendant 30 à 40 jours
red root en teinture: 1/2 à 1 et 1 1/2 cc (30 à 90 gouttes) jusqu'à 4X/jour
boneset tea: 2 à 4 tasses par jour
nathalie
artemisinine et "red root"
Je viens de terminer le protocole de phyto de Stephen Buhner contre la babesia: à savoir 100 mg d'artemisinine et entre 30 et 90 gouttes de teinture mère de red root (ceanothus americanus) le tout 3 fois par jour et pendant un mois.
Après un herx phénoménal des YEUX!
qui m'a valu de ressembler à un lapin nain pendant plus de 15 jours et un épisode douloureux d'ERG où la lentille était indécollable en raison d'une hyper hyper sècheresse!!, bref malgré tout cela je me sens bien mieux aujourd'hui. 
Il est impossible d'affirmer que je sois débarassée de la babesia comme il est impossible d'affirmer que je l'ai... tout ce que je dis c'est que j'ai fait une réaction de cheval et qu'à l'issue de ce mois de traitement je me sens bien mieux qu'avant.
Pour info j'ai acheté ces herbes sur internet auprès d'un site américain.
Je ne sais pas si elles sont commercialisées en France.
(L'artemisinine est un vieux remède contre la malaria entre autre et certaines observations cliniques montrent qu'elle serait efficace sur la borreliose en plus de la babesia)
Après un herx phénoménal des YEUX!
qui m'a valu de ressembler à un lapin nain pendant plus de 15 jours et un épisode douloureux d'ERG où la lentille était indécollable en raison d'une hyper hyper sècheresse!!, bref malgré tout cela je me sens bien mieux aujourd'hui. Il est impossible d'affirmer que je sois débarassée de la babesia comme il est impossible d'affirmer que je l'ai... tout ce que je dis c'est que j'ai fait une réaction de cheval et qu'à l'issue de ce mois de traitement je me sens bien mieux qu'avant.
Pour info j'ai acheté ces herbes sur internet auprès d'un site américain.
Je ne sais pas si elles sont commercialisées en France.
(L'artemisinine est un vieux remède contre la malaria entre autre et certaines observations cliniques montrent qu'elle serait efficace sur la borreliose en plus de la babesia)
Modifié en dernier par nath le 01 févr. 2006 00:13, modifié 1 fois.
Paris, 7 septembre 2005
Mise en évidence du mécanisme d'action antipaludique d'une plante asiatique
Des chercheurs français du CNRS et de l'Inserm (1) à Toulouse ont mis en
évidence le mécanisme d'action de l'artémisinine, une molécule extraite
d'une variété d'armoise (2), plante asiatique très active dans la lutte
contre le paludisme. Dans un article publié en ligne dans la revue
Proceedings of the National Academy of Sciences of USA (PNAS), ils
expliquent comment cette molécule peut tuer le parasite. Ces résultats
ouvrent la voie à la création de nouveaux médicaments antipaludiques
efficaces.
Le paludisme ou malaria (3) pose un problème majeur de santé publique et de
développement. Plus de 40% de la population mondiale est exposée à cette
maladie parasitaire qui tue près de 3 millions de personnes par an,
principalement en Afrique. Le paludisme avait été efficacement endigué dans
de nombreux pays par la mise en place de mesures d'hygiène (assèchement des
marécages, lieux d'éclosion des larves de moustiques, utilisation
d'insecticides rémanents tels que le DDT) et par le développement de
médicaments efficaces et bon marché comme la chloroquine. Pourtant, depuis
le début des années 1980, le paludisme est de nouveau en pleine expansion.
Il a réapparu dans certains pays d'où il avait été éradiqué et est
aujourd'hui responsable de trois à quatre fois plus de morts qu'en 1970.
Cette recrudescence est liée à la généralisation des résistances du parasite
à la chloroquine et aux autres antipaludiques classiques
(sulfadoxine-pyriméthamine en Afrique, méfloquine en Asie). La mise au point
d'un vaccin antipaludique efficace reste encore difficile.
Dans la lutte contre ce fléau, un produit est particulièrement intéressant :
l'artémisinine. L'artémisinine et ses dérivés (4) sont très efficaces, même
sur les souches de parasites résistants, et remarquablement bien tolérés, y
compris pour le traitement des enfants. Cette molécule, extraite d'une
variété d'armoise, est utilisée principalement en Asie. Les rendements
d'extraction en artémisinine ne sont satisfaisants que lorsque cette plante
est cultivée dans les conditions de sol et de climat des hauts-plateaux
chinois et vietnamiens. La capacité actuelle de production est de 5 à 6
tonnes par an alors que la quantité nécessaire pour traiter les 400 à 600
millions de cas de paludisme recensés chaque année serait de l'ordre de 300
tonnes. L'approvisionnement devient alors très vite insuffisant. Une équipe
de recherche du CNRS a donc cherché à comprendre le mécanisme d'action de
l'artémisinine. En saisissant la façon dont ce médicament tue le parasite,
il sera possible de faire la synthèse de nouveaux antipaludiques efficaces.
Le parasite responsable du paludisme élit domicile dans les globules
rouges, cellules très riches en hème, pigment rouge du sang. Depuis quelques
années, Anne Robert et Bernard Meunier, chercheurs en chimie de l'équipe «
Oxydations biomimétiques » du Laboratoire de chimie de coordination du CNRS
(LCC), ont montré que l'artémisinine et ses dérivés réagissent facilement
avec l'hème. Les deux éléments se fixent l'un à l'autre pour donner des
produits de couplage hème-artémisinine :cette réaction est une réaction
d'alkylation. L'équipe de recherche du LCC a utilisé des souris infectées
afin de montrer que cette réaction a lieu également chez la souris malade :
après un traitement par l'artémisinine, il y a bien alkylation entre ce
médicament et l'hème de la souris infectée. Les produits de couplage
hème-artémisinine ont été détectés dans la rate et l'urine des souris
malades (la rate est l'organe responsable de l'élimination des globules
rouges malades ou endommagés). Aucun de ces produits n'a été retrouvé chez
les souris saines traitées à l'artémisinine. L'analyse des fluides
biologiques et des organes a été rendue possible par la mise au point des
méthodes analytiques et le savoir-faire acquis dans l'équipe des chimistes.
Le recrutement d'un chercheur de l'Inserm, Françoise Benoit-Vical, au sein
du LCC a apporté l'expertise d'une parasitologue et a favorisé la
collaboration entre le CNRS et le service de parasitologie du CHU de
Rangueil, à Toulouse.
Ainsi, cette équipe a mis en évidence les propriétés alkylantes de
l'artémisinine, non seulement in vitro, mais également in vivo, chez la
souris infectée par le parasite. Ces travaux servent à inspirer la synthèse
de nouveaux antipaludiques, telles les trioxaquines®, molécules conçues et
créées par la même équipe et actuellement développées par la société Palumed
en collaboration avec Sanofi-Aventis.
Notes :
1) du Laboratoire de chimie de coordination du CNRS (LCC) à Toulouse :
Catherine Claparols, Bernard Meunier, Anne Robert, Françoise Benoit-Vical
(chercheur Inserm)
2) Artemisia annua L., plante utilisée en médecine traditionnelle chinoise
3) nom anglo-saxon du paludisme
4) artéméther et artésunate
Références :
The antimalarial drug artemisinin alkylates heme in infected mice par Anne
Robert, Françoise Benoit-Vical, Catherine Claparols, Bernard Meunier.
PNAS n° 9048, réf. 05-00972, 5 septembre 2005
Contacts :
Contact chercheurs :
Anne Robert, CNRS
Laboratoire de chimie de coordination, Toulouse.
Tél. : 05 61 33 31 26
Mél : arobert@lcc-toulouse.fr
Françoise Benoit-Vical, Inserm
Laboratoire de chimie de coordination, Toulouse
et Service de parasitologie-mycologie, CHU de Toulouse
Tél. : 05 61 32 34 46
Mél : Francoise.Vical@toulouse.inserm.fr
Contacts presse :
Martine Hasler, CNRS
Tél : 01 44 96 46 35
Mél : martine.hasler@cnrs-dir.fr
Séverine Ciancia, Inserm
Tél : 01 44 23 60 86
Mél : severine.ciancia@tolbiac.inserm.fr
Mise en évidence du mécanisme d'action antipaludique d'une plante asiatique
Des chercheurs français du CNRS et de l'Inserm (1) à Toulouse ont mis en
évidence le mécanisme d'action de l'artémisinine, une molécule extraite
d'une variété d'armoise (2), plante asiatique très active dans la lutte
contre le paludisme. Dans un article publié en ligne dans la revue
Proceedings of the National Academy of Sciences of USA (PNAS), ils
expliquent comment cette molécule peut tuer le parasite. Ces résultats
ouvrent la voie à la création de nouveaux médicaments antipaludiques
efficaces.
Le paludisme ou malaria (3) pose un problème majeur de santé publique et de
développement. Plus de 40% de la population mondiale est exposée à cette
maladie parasitaire qui tue près de 3 millions de personnes par an,
principalement en Afrique. Le paludisme avait été efficacement endigué dans
de nombreux pays par la mise en place de mesures d'hygiène (assèchement des
marécages, lieux d'éclosion des larves de moustiques, utilisation
d'insecticides rémanents tels que le DDT) et par le développement de
médicaments efficaces et bon marché comme la chloroquine. Pourtant, depuis
le début des années 1980, le paludisme est de nouveau en pleine expansion.
Il a réapparu dans certains pays d'où il avait été éradiqué et est
aujourd'hui responsable de trois à quatre fois plus de morts qu'en 1970.
Cette recrudescence est liée à la généralisation des résistances du parasite
à la chloroquine et aux autres antipaludiques classiques
(sulfadoxine-pyriméthamine en Afrique, méfloquine en Asie). La mise au point
d'un vaccin antipaludique efficace reste encore difficile.
Dans la lutte contre ce fléau, un produit est particulièrement intéressant :
l'artémisinine. L'artémisinine et ses dérivés (4) sont très efficaces, même
sur les souches de parasites résistants, et remarquablement bien tolérés, y
compris pour le traitement des enfants. Cette molécule, extraite d'une
variété d'armoise, est utilisée principalement en Asie. Les rendements
d'extraction en artémisinine ne sont satisfaisants que lorsque cette plante
est cultivée dans les conditions de sol et de climat des hauts-plateaux
chinois et vietnamiens. La capacité actuelle de production est de 5 à 6
tonnes par an alors que la quantité nécessaire pour traiter les 400 à 600
millions de cas de paludisme recensés chaque année serait de l'ordre de 300
tonnes. L'approvisionnement devient alors très vite insuffisant. Une équipe
de recherche du CNRS a donc cherché à comprendre le mécanisme d'action de
l'artémisinine. En saisissant la façon dont ce médicament tue le parasite,
il sera possible de faire la synthèse de nouveaux antipaludiques efficaces.
Le parasite responsable du paludisme élit domicile dans les globules
rouges, cellules très riches en hème, pigment rouge du sang. Depuis quelques
années, Anne Robert et Bernard Meunier, chercheurs en chimie de l'équipe «
Oxydations biomimétiques » du Laboratoire de chimie de coordination du CNRS
(LCC), ont montré que l'artémisinine et ses dérivés réagissent facilement
avec l'hème. Les deux éléments se fixent l'un à l'autre pour donner des
produits de couplage hème-artémisinine :cette réaction est une réaction
d'alkylation. L'équipe de recherche du LCC a utilisé des souris infectées
afin de montrer que cette réaction a lieu également chez la souris malade :
après un traitement par l'artémisinine, il y a bien alkylation entre ce
médicament et l'hème de la souris infectée. Les produits de couplage
hème-artémisinine ont été détectés dans la rate et l'urine des souris
malades (la rate est l'organe responsable de l'élimination des globules
rouges malades ou endommagés). Aucun de ces produits n'a été retrouvé chez
les souris saines traitées à l'artémisinine. L'analyse des fluides
biologiques et des organes a été rendue possible par la mise au point des
méthodes analytiques et le savoir-faire acquis dans l'équipe des chimistes.
Le recrutement d'un chercheur de l'Inserm, Françoise Benoit-Vical, au sein
du LCC a apporté l'expertise d'une parasitologue et a favorisé la
collaboration entre le CNRS et le service de parasitologie du CHU de
Rangueil, à Toulouse.
Ainsi, cette équipe a mis en évidence les propriétés alkylantes de
l'artémisinine, non seulement in vitro, mais également in vivo, chez la
souris infectée par le parasite. Ces travaux servent à inspirer la synthèse
de nouveaux antipaludiques, telles les trioxaquines®, molécules conçues et
créées par la même équipe et actuellement développées par la société Palumed
en collaboration avec Sanofi-Aventis.
Notes :
1) du Laboratoire de chimie de coordination du CNRS (LCC) à Toulouse :
Catherine Claparols, Bernard Meunier, Anne Robert, Françoise Benoit-Vical
(chercheur Inserm)
2) Artemisia annua L., plante utilisée en médecine traditionnelle chinoise
3) nom anglo-saxon du paludisme
4) artéméther et artésunate
Références :
The antimalarial drug artemisinin alkylates heme in infected mice par Anne
Robert, Françoise Benoit-Vical, Catherine Claparols, Bernard Meunier.
PNAS n° 9048, réf. 05-00972, 5 septembre 2005
Contacts :
Contact chercheurs :
Anne Robert, CNRS
Laboratoire de chimie de coordination, Toulouse.
Tél. : 05 61 33 31 26
Mél : arobert@lcc-toulouse.fr
Françoise Benoit-Vical, Inserm
Laboratoire de chimie de coordination, Toulouse
et Service de parasitologie-mycologie, CHU de Toulouse
Tél. : 05 61 32 34 46
Mél : Francoise.Vical@toulouse.inserm.fr
Contacts presse :
Martine Hasler, CNRS
Tél : 01 44 96 46 35
Mél : martine.hasler@cnrs-dir.fr
Séverine Ciancia, Inserm
Tél : 01 44 23 60 86
Mél : severine.ciancia@tolbiac.inserm.fr
nath
tu parlais dans un autre post (que je n'ai pas retrouvé) que ton médecin n'était pas surpris que l'artémisine t'ai aidée mais par ailleurs j'ai lu que ce médecin (je crois françois le disait) lui prescrit des extraits de pépins de pamplemousse
ma question pourquoi ce médecin ne conseille t-il pas d'acheter l'artémisine (au moyen d'internet c'est faisable) plutot que de prescrire des "médicaments" comme ça ! c'est pas très logique
désolée je retrouve plus les posts je ne sais plus ou ils sont placés
en tout cas ça me semble assez bizzare comme raisonnement plutot essayer de conseiller cette plante je vois pas ce que le pamplemousse pourrait guérir aider à améliorer les mycoses digestives sans doute mais surement pas tuer une bactérie
a bientot
sybille
tu parlais dans un autre post (que je n'ai pas retrouvé) que ton médecin n'était pas surpris que l'artémisine t'ai aidée mais par ailleurs j'ai lu que ce médecin (je crois françois le disait) lui prescrit des extraits de pépins de pamplemousse
ma question pourquoi ce médecin ne conseille t-il pas d'acheter l'artémisine (au moyen d'internet c'est faisable) plutot que de prescrire des "médicaments" comme ça ! c'est pas très logique
désolée je retrouve plus les posts je ne sais plus ou ils sont placés
en tout cas ça me semble assez bizzare comme raisonnement plutot essayer de conseiller cette plante je vois pas ce que le pamplemousse pourrait guérir aider à améliorer les mycoses digestives sans doute mais surement pas tuer une bactérie
a bientot
sybille
Bonjour sybille,
l'extrait de pépins de pamplemousse c'est un antimycosique et un antibactérien naturel (don ça agit sur les champignons et les mycoses)
l'artemisinine est un antiparasitaire donc ça n'agit pas sur la borreliose mais sur la malaria, et la babesia en l'occurence.
maintenant je pense qu'il ne peut pas dire à ses patients atteints de la babesia de prendre un produit qui est illicite... question d'éthique!
l'extrait de pépins de pamplemousse c'est un antimycosique et un antibactérien naturel (don ça agit sur les champignons et les mycoses)
l'artemisinine est un antiparasitaire donc ça n'agit pas sur la borreliose mais sur la malaria, et la babesia en l'occurence.
maintenant je pense qu'il ne peut pas dire à ses patients atteints de la babesia de prendre un produit qui est illicite... question d'éthique!
c'est souvent comme ça , en belgique en vente libre et ici .....
on a toujours du retard en france c'est terrible ça
parce que finalement comme on sait pas quels sont les co-infections mieux vaut essayer le plus de choses possibles en se basant sur les expériences des uns et des autres bien sur personne n'est pareil
amitiés
sybille
on a toujours du retard en france c'est terrible ça
parce que finalement comme on sait pas quels sont les co-infections mieux vaut essayer le plus de choses possibles en se basant sur les expériences des uns et des autres bien sur personne n'est pareil
amitiés
sybille
) j'ai trouvé que bien qu'il n'y ai pas encore de preuve scientifique, des constatations cliniques montrent que cette plante aurait un effet contre la borreliose...
Bonjour, juste une précision, pour ceux qui font le protocole artemisinine + red root : l'artemisinine n'est pas à prendre en même temps que des antioxydants ou des aliments contenant du fer, car ceux-ci diminuent son efficacité.
En bas de la page suivante : http://organicpharmacy.org/products/Art ... :72160-arg
il est écrit : "combining with antioxidants or iron may theoretically decrease effectiveness"
En bas de la page suivante : http://organicpharmacy.org/products/Art ... :72160-arg
il est écrit : "combining with antioxidants or iron may theoretically decrease effectiveness"