http://www.molecularalzheimer.org/files ... -Only_.pdf
http://www.molecularalzheimer.org/files ... yright.pdf
et pour comprendre ce qu'est un biofilm:
http://en.wikipedia.org/wiki/Biofilm
ps: pour Socciando!

ha ça, bonne question!..fobitic a écrit : Pourquoi nos médecins français sont si peu formés et si nuls?
mais ils sont où?et qui s'intéressent au sujet.
a-t-il percé le secret d'une forme kystique?nath a écrit :ha ça, bonne question!..fobitic a écrit : Pourquoi nos médecins français sont si peu formés et si nuls?![]()
j'ai bien quelques idéesmais je ne vais pas entretenir la polémique sur ce post, ce n'est pas l'objet.
à nous de faire le relais auprès des médecins que nous fréquentons et qui s'intéressent au sujet.
il faut bien réaliser que cette découverte d'Alan McDonald est majeure pour nous les lymés: c'est ENFIN la preuve d'une infection persistante donc un pas vers la reconnaissance de la chronicité de la pathologie.
les kystes, ce n'est pas la question traitée dans cet article.lali a écrit :[
a-t-il percé le secret d'une forme kystique?
ou la structure biofilm est autre chose?
Je cherche, c'est intéressant.Jéjé89 a écrit :Merci. Très clair.
Les biofilms ont l'air de concerner un certain nombre d'infections chroniques.
Alors, y-a-t-il des traitements connus dans d'autres pathologies pour les prendre en compte ( dissolution, ???...) ?
http://www.publichealthalert.org/Articl ... s_fail.htm (voir Reason Sixteen, fait référence aux huiles essentielles plusieurs fois dans son texte)
http://lymemd.blogspot.com/2008/07/biofilms.html (très bon blog d'un médecin)
http://www.erudit.org/revue/MS/2006/v22 ... 808ar.htmlDes senseurs pour contrôler le style de vie bactérien
Le choix entre infection chronique ou aiguë
Parmi les raisons qui poussent les scientifiques à porter un intérêt croissant aux mécanismes moléculaires qui sous-tendent la formation de ces biofilms, il faut mentionner le rôle de ces populations bactériennes dans le développement des infections chroniques chez l'homme
Les bactéries possèdent des systèmes de détection qui permettent de percevoir les variations de conditions dans leur environnement afin de pouvoir en tenir compte pour changer l'expression de leur génome, et permettre ainsi l'induction ou la répression des gènes requis pour la meilleure adaptation au nouvel environnement détecté.
Conclusions et perspectives
Nous faisons des choix chaque jour sur la base d'information dont nous disposons. Les bactéries font de même. Dans le contexte d'une infection, le pathogène doit prendre une décision lorsqu'il colonise son hôte. Doit-il se propager rapidement, provoquer une infection aiguë et éventuellement la mort de l'hôte, ou doit-il persister au sein de l'hôte en s'établissant sous forme de biofilm et tenter d'échapper au système immunitaire. (...)La disponibilité de certains sucres comme source de carbone, ou d'autres nutriments comme le fer, peuvent influencer la bactérie à persister sous forme de biofilms.(...)nous devrons continuer à essayer de mieux comprendre tous les mécanismes moléculaires qui commandent le switch entre maladie aiguë ou chronique. Ces connaissances sont indispensables pour favoriser le développement de nouveaux anti-microbiens et améliorer le traitement des maladies infectieuses.
Les sérotypes des différentes bactéries correspondent, fréquemment, à différents polysaccharides.